La carte du restaurant en terrasse "Cielo" est tout simplement embarrassante, avec une proposition de plats qui peuvent bien aller (façon de parler) de Cagliari à Melbourne : rien qui soit le moins du monde lié au territoire, et oui ça La Sardaigne offre beaucoup de possibilités, si seulement le chef savait ce qu'il faisait : le premier plat de calamarata, choisi en désespoir de cause, étant donné le reste, arrive pratiquement cru (comme le dit quelqu'un qui aime les pâtes al dente) avec une eau de tomate et sans goût pecorino à la limite de l'embarrassant ; le seul poisson au menu était la lotte (!!!) sauce basque… ; en dessert une tartelette au chocolat noir et aux fruits de la passion : le chocolat noir n'avait rien et le fruit de la passion utilisé pouvait servir à en faire encore vingt-cinq. Une bouteille de Sella&Mosca méthode classique (bonne, car achetée à l'extérieur), pour une addition de 140,00 € pour deux. L'accueil est bon, mais lorsqu'on lui demande un apéritif avant le dîner, la réponse est "vous pouvez le prendre à table", un maître d'hôtel, au lieu de nous demander comment s'est passé le dîner, nous étonne d'un "Are tu te détends ?" , comme si on était dans un SPA !!! Par contre, on sait qu'on va au restaurant pour se détendre, pas pour bien manger…. La vue, à l'exception d'un haut immeuble qui domine d'un côté, est très belle, mais il vaut mieux consulter la météo avant de partir, car un jour de fort mistral, comme celui qui a frappé la Sardaigne après "Circé", mieux vaut avoir une couette et un système d'ancrage adéquat. Service largement révisable.
Texte originalTraduction fournie par Google